L'interview WhatsApp de… Héloïse Noreck (First Stop Ayme)

Bonjour Héloïse. Tout va bien ?

Parfaitement bien !

Qu’est-ce qui vous a convaincue de vous prêter au jeu de l’interview WhatsApp ?

Le format différenciant, innovant et très réactif.

Peut-être que votre portrait suscitera des vocations. Ça vous semble important de partager votre expérience ?

Oui, très important. Je ne me pose absolument pas en modèle, mais la transmission et l’envie viennent souvent du partage.

Si l’on se penche sur votre parcours, justement, vous êtes diplômée en marketing d’une école de commerce. À quoi rêviez-vous pendant vos études ?

À travailler concrètement. À être dans la pratique. À comprendre réellement la vie d’une entreprise.

Et pourquoi le marketing plutôt qu’autre chose ?

Je trouvais que c’était pragmatique, concret et très varié.

D'ailleurs, c’est quoi pour vous le marketing ?

Pour moi, c'est comprendre les clients, pour pousser le bon produit au bon moment.

Et en interne ? Avoir l’esprit de synthèse ?

Oui, et aimer la gestion de projet.

Votre parcours vous a d’abord amenée à travailler dans des cabinets d’audit. Un monde qui est parfois rude. Qu’en retenez-vous ?

Qu’il est parfois difficile de faire sa place, mais qu’il faut être patient et apprendre.

La suite va vous conduire dans l’univers de la comptabilité puis de la restauration collective. Évoluer dans des secteurs qui n’ont rien en commun n’est pas un problème pour vous ?

Pas du tout, c’est vraiment ce que je recherche. Découvrir des univers et des gens passionnés par ce qu’ils font.

Vous avez vu des points communs entre ces organisations ?

Ce sont des secteurs rétifs au marketing au début, mais qui comprennent au fur et à mesure l’importance du changement et de la digitalisation.

Comment êtes-vous arrivée chez First Stop ?

Par un projet innovant et grâce à des personnes inspirantes. L’entreprise souhaitait vraiment donner un rôle important au marketing et ça me plaisait.

Quelle image aviez-vous du pneumatique jusque-là ?

Une image de consommatrice assez lointaine. Et je comprends, petit à petit, la complexité ainsi que l’expertise technique de ce produit.

Est-ce facile de s’intégrer dans un réseau aussi spécialisé quand on vient d’ailleurs ?

Oui, sincèrement. J’ai ressenti une grande volonté de m’expliquer et de voir ensemble comment faire évoluer les choses.

Parmi vos missions, il y a notamment le volet développement digital. C’est un sujet qui vous tient à cœur ?

Absolument. C'est un sujet incontournable qui présente beaucoup de perspectives. C’est une matière changeante en permanence !

Vous sentez que le monde du pneumatique n’est pas particulièrement en avance ?

Des innovations sont faites, mais les attentes des consommateurs évoluent et nous devons y répondre. À nous d’avoir la bonne réponse 😊

Dans votre parcours, vous avez été amenée à manager des équipes. Est-ce une tâche qui s’est imposée à vous ou que vous recherchiez ?

Je souhaitais évoluer en ce sens. Le travail en équipe est vraiment ce qui m’anime et j’ai de la chance d’avoir une très bonne équipe.

Si je vous demande de vous projeter dans dix ans, vous vous voyez où, professionnellement parlant ?

Cette question est très difficile pour moi 😊 De toujours évoluer dans le digital, je pense, et d’être entourée de personnes inspirantes.

Merci Héloïse. Que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

Merci Romain. D’apprendre tous les jours !

Cet article est extrait du Journal du Pneumatique n°187 de novembre-décembre 2024.