L'impact du scandale Volkswagen sur l'après-vente
Feu Vert a voulu savoir si le scandale Volkswagen avait eu un effet de halo négatif sur l'ensemble des acteurs de l'automobile. Les réponses sont nées d'un sondage spécial.
Suite au scandale Volkswagen, qui a d'abord éclaté aux États-Unis, Feu Vert a souhaité mesurer l’impact de la crise de confiance que traverse le secteur automobile sur le comportement de ses clients, à travers un sondage mené par Opinion Way du 27 octobre au 5 novembre 2015, sur plus de 1000 automobilistes.
Ce sondage, basé sur la satisfaction globale et la confiance accordées par les automobilistes français aux constructeurs, aux concessionnaires et aux centres-auto Feu Vert a révélé un impact limité de "l'affaire Volkswagen". 84 % d'entre eux ainsi déclaré que la confiance ne s'était pas émoussée, contre 6 % qui ont admis que cette histoire avait eu une influence assez négative et 4 % une influence très négative.
Le sondage nous apprend aussi que 47 % des automobilistes interrogés ont choisi l'enseigne Feu Vert pour le prix, 41 % pour la proximité, 25 % pour la relation et l'accueil, 25 % pour leur expérience passée, 18 % pour la gamme de services, 14 % pour les horaires et jours d'ouverture, 8 % pour la réputation, 6 % par hasard. Réagissant aux résultats de cette enquête, Bernard Perreau, président du Groupe Feu Vert, s'est félicité que l’image des professionnels de l’après-vente automobile n’ait pas été éclaboussée par ce scandale.