Bridgestone/Béthune : pour Agnès Pannier-Runacher "le compte n'y est pas"
A l'instar de Xavier Bertrand quelques jours plus tôt, la ministre de l'Industrie a jugé qu'il fallait être "exigeant" avec le manufacturier nippon qui souhaite fermer son usine nordiste.

Agnès Pannier-Runacher, ministre de l'Industrie.
Il parait illusoire de croire que ces prises de position feront infléchir le groupe japonais, toujours est-il que la pression de la classe politique sur Bridgestone demeure importante alors que la fermeture de l'usine de Béthune a été confirmée le 13 novembre dernier. La ministre de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, estime ainsi qu'il faut être "exigeant" avec le manufacturier nippon concernant l'avenir du site n[...]
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour accéder à la totalité de l'article abonnez-vous.

Déjà abonné ? Connectez-vous
Sur le même sujet
