Le groupe, via sa division Michelin Lifestyle Limited, lance pour la première fois en France une gamme de 16 articles d’éclairage et d’alimentation électrique.
Depuis qu’il dispose d’une gamme TC4 en plus des PL et GC déjà connues depuis des années, le manufacturier chinois Aeolus ne cache plus ses ambitions mondiales. Prévoyant et méthodique, il se lance dès aujourd’hui dans une campagne mondiale de communication. Pour se faire connaître de toute la planète, il participe à la Volvo Ocean Race, la plus prestigieuse course à la voile autour du monde. Sur 40.000 milles, elle dure 9 mois et oppose 7 équipages financés par de grandes firmes mondiales et disposant tous du même bateau de 65 pieds. A chacune des étapes, la possibilité d’inviter clients et VIP fait de la Volvo Ocean Race un outil de communication d’une rare efficacité. Aeolus a saisi cette chance en prenant en marche le projet d’une autre grande entreprise chinoise, le constructeur de poids lourds Dongfeng, et le rendant possible au prix d’une participation financière raisonnable. Bien joué ! L’originalité de ce premier défi chinois est qu’il est managé en France, à Lorient, par des marins français très expérimentés, et vise à terme à la création d’une équipe 100 % chinoise de marins de haute mer. On n’a pas fini de parler d’Aeolus et de Dongfeng dans les mois qui viennent, d’autant plus que la course fera étape à Lorient en juin 2015...
Depuis qu’il dispose d’une gamme TC4 en plus des PL et GC déjà connues depuis des années, le manufacturier chinois Aeolus ne cache plus ses ambitions mondiales. Prévoyant et méthodique, il se lance dès aujourd’hui dans une campagne mondiale de communication. Pour se faire connaître de toute la planète, il participe à la Volvo Ocean Race, la plus prestigieuse course à la voile autour du monde. Sur 40.000 milles, elle dure 9 mois et oppose 7 équipages financés par de grandes firmes mondiales et disposant tous du même bateau de 65 pieds. A chacune des étapes, la possibilité d’inviter clients et VIP fait de la Volvo Ocean Race un outil de communication d’une rare efficacité. Aeolus a saisi cette chance en prenant en marche le projet d’une autre grande entreprise chinoise, le constructeur de poids lourds Dongfeng, et le rendant possible au prix d’une participation financière raisonnable. Bien joué ! L’originalité de ce premier défi chinois est qu’il est managé en France, à Lorient, par des marins français très expérimentés, et vise à terme à la création d’une équipe 100 % chinoise de marins de haute mer. On n’a pas fini de parler d’Aeolus et de Dongfeng dans les mois qui viennent, d’autant plus que la course fera étape à Lorient en juin 2015...
Isamu ISHIDA, le patron de Falken Tyre Europe, a bien voulu répondre aux questions du magazine Le Pneumatique sur l’actualité de son Groupe et ses ambitions.
Falken Tyre Europe a démarré ses activités dans le giron de Sumitomo Rubber Industries en 2010 et depuis, la société marque des points, portée par son image de compétiteur. En Andalousie, dans le fief de la Tauromachie, elle est descendue dans l’arène pour présenter ses deux nouveaux pneus, les Sincera SN832 eCorun et Azenis FK453 Runflat.
Pirelli lance un nouveau pneu à haute-technologie développé spécialement pour les véhicules utilitaires, qui a été testé préalablement avec plusieurs flottes automobiles européennes.
Pour ces machines agiles et puissantes, Michelin a lancé un nouveau pneu très technique, qui répond à leurs exigences de productivité. Il fallait se rendre chez APM Terminals dans le port de Rotterdam pour en prendre toute la mesure.
Depuis 1955, la course automobile était bannie de la stratégie Continental. On croyait ce dogme inébranlable jusqu’en 2010 où, via sa filiale américaine, le manufacturier de Hanovre a opéré une rentrée fracassante en compétition automobile. Il a complètement pris en charge le championnat d’endurance Grand-AM, des voitures proches de celles courant au Mans. Sans expérience préalable de la course, l’opération aurait été trop risquée sans la collaboration d’un petit manufacturier américain hyper spécialisé dans les pneus racing, Hoosier. C’est lui qui a guidé les ingénieurs de Continental, fabrique les pneus sur place et assure logistique et montage sur les circuits. Ecuries et pilotes ravis de la rapidité et la fiabilité des pneus racing Conti ExtremeContact, succès reconnu et bien exploité, image de Continental et ventes de pneus premium en hausse, tous les voyants étaient au vert lorsque le Grand-AM a fusionné avec un autre championnat, l’ALMS, American Le Mans Series. Il en est résulté en 2014 un « championnat unifié » USC, United Sports Car, mais le mariage des règlements a changé la donne technique. Les essais d’intersaison des nouvelles voitures ont donné lieu à des éclatements, Conti a fait l’admiration de tous en concevant et fabriquant en quelques semaines de nouveaux pneus parfaitement adaptés. Et tout était rentré dans l’ordre pour la première course 2014, les 24 Heures de Daytona, situation à nouveau idyllique sauf que Michelin, fournisseur de l’ALMS, est maintenu dans certaines catégories USC. Voilà le monopole Conti battu en brèche mais l’expérience accumulée pourrait lui permettre d’aller bientôt défier le Français dans sa chasse gardée, les 24 Heures du Mans...
Importé en France par Dipropneu, le manufacturier japonais Toyo prend de l’assurance.
Depuis 2010, le pneu hiver progresse en France, mais cette croissance reste fragile car encore conditionnée par la météo. En l’absence d’obligation – comme en Allemagne – il faudra des années pour convaincre les Français que leur sécurité passe par la monte de pneus hiver.
Le manufacturier a organisé pour la première fois en Europe une séance d’essais pour sa famille de pneus Ventus. Cet événement a eu lieu en février sur le circuit de Castelloli près de Barcelone, en présence du nouveau COO, M. Ho-Youl PAE. Il a démontré le positionnement premium de la marque coréenne, qui met en avant sa sportivité et ses dernières victoires en première monte chez les constructeurs allemands Mercedes et BMW.
En France l’année dernière, les ventes de rechapés ont même pour la première quasiment égalé celles de pneus neufs. Les économies générées par cette pratique ont du sens en temps de crise. Cette activité continue donc de progresser. Mais les carcasses ne peuvent pas toutes être rechapées et elles se font rares. Les grands manufacturiers « premium », qui dominent très largement ce marché, s’efforcent donc de sécuriser leurs flux. Les carcasses sont aussi l’objet d’une attention toute particulière depuis que la Commission Européenne s’interroge sur la meilleure façon d’appliquer son étiquette aux pneus rechapés, déjà en vigueur depuis le 1er novembre 2012 pour les pneus neufs.
En apparence, les procédés utilisés pour rechaper les pneus à chaud ont peu évolué au fil du temps. Mais en réalité, les progrès sont bien réels. Ils proviennent des connaissances acquises au fil des années par des opérateurs spécialisés. Ils se traduisent par des optimisations industrielles pour accroître la productivité et accompagner la qualité des pneus Remix rechapés. Michelin a accepté d’ouvrir les portes de son usine de la Combaude à Clermont-Ferrand dans le cadre de ce dossier. Visite guidée en compagnie de Jérémie Wojcik, responsable de la planification Remix.